Ewie
Messages : 15 Date d'inscription : 23/05/2010
&& This is you ! && It's a part of me :
| Sujet: Ewie [Ecrivain ?] Dim 23 Mai - 20:23 | |
| Prénom : Julia Pseudo : Ewie Age : 14 ans [bientôt] '-' Pourquoi vouloir appartenir à ce groupe ? Parce que j'adore écrire, & que je passe mon temps à ça. Exemple de RP et / ou de contexte et / ou de postes vacants :
Exemple de RP :
- Spoiler:
Kim soupira d’aise en sentant les effluves du thé arriver à ses narines. Si ses mains tremblaient légèrement, elle n’y fit pas attention et porta la tasse à ses lèvres. La journée avait été rude, trop rude, pour qu’elle ne finisse pas par se laisser aller. Même si un inconnu était assis à moins de cinquante centimètres d’elle, avec pour intention de la flanquer dans une ambulance au moindre nouveau signe de faiblesse. Même si cela la terrifiait, rien qu’à l’idée, elle décida d’oublier. Les yeux fermés, elle s’appuya contre le dossier, bien décidée à s’endormir. Seule la voix d’Ethan l’empêcha de sombrer directement dans le sommeil.
Seulement, essayez donc de vous endormir avec une tasse de thé brûlant dans les mains. Kim avait légèrement oublié ce détail. A croire qu’elle passait à côté de l’essentiel, aujourd’hui. Ses doigts lâchèrent la tasse avec autant de facilité que si la jeune femme en avait eu envie. Elle ne se rendit pas immédiatement compte à quel point l’eau de son thé était chaude, et à quel point sa cuisse la brûlait. Simplement que le contact du jean trempé contre sa peau était.. Désagréable. La brûlure vint après. Et les jurons avec. La blonde finit par se taire, consciente qu’elle n’était pas seule et qu’elle allait finir par passer pour quelqu’un de vulgaire. Peut-être est-ce ce que je suis, pensa-t-elle en serrant le poing, de douleur. Elle voulut déplier les jambes mais Ethan avait bondit face à elle - pour ne pas dire, lui avait littéralement sauté dessus - et commençait déjà à palper son genoux. L’étudiante savait pertinemment qu’il souhaitait juste constater les dégâts occasionnés par l’eau bouillante, mais elle détestait qu’on la touche. Du moins, qu’on touche sa jambe gauche.
« Ôte tes mains de ma jambe » grinça-t-elle en le repoussant.
Elle n’était pas franchement certaine qu’il allait obtempérer. Et il n’obtempéra pas. Ethan saisit ses poignets avec une telle fermeté qu’elle ne put s’empêcher de retenir un cri. Pourquoi les hommes finissaient-ils toujours par se montrer si violents ? Peut-être l’aurait-elle dit si sa cuisse n’avait pas commencée à l’élancer sérieusement, l’obligeant à garder la bouche fermée. Elle ne crierait pas parce qu’elle avait mal, pas plus qu’elle n’avait crié lorsqu’une balle avait percé sa cuisse, plusieurs années auparavant. A ce souvenir, la jeune femme tressaillit. Ou était-ce le regard bleu-vert d’Ethan ? Elle ne savait pas, elle ne savait plus. Serrant les dents, elle retint à grand peine les larmes qui menaçaient de couler et ferma les yeux. Il était totalement exclu qu’elle pleure, à plus forte raison devant quelqu’un dont elle ne connaissait que le nom. Hochant vivement la tête lorsqu’il parla, elle ne fit aucun mouvement pour se dégager, sachant qu’il ne la laisserait pas faire. Et elle n’était pas assez en forme pour lui donner des coups, coups qu’il, au passage, ne méritait pas. Sa bienveillance agaçante étant néanmoins agréable, il fallait qu’elle l’avoue. Mais pas à haute voix. Jamais.
« Première porte à gauche » fit-elle, lorsqu’il lui demanda où était la salle de bains.
De nouveau, lorsqu’elle se leva, Kim retint un cri. Bouger lui était douloureux mais elle ne l’admettrait pas. Elle n’avait jamais extériorisé sa douleur, physique ou psychologique, et ça n’était pas maintenant qu’elle allait commencer. Surtout devant un inconnu. Même si il lui était venu en aide. Certaine que son apparente démarche assurée ne devait pas être très crédible, elle se donna une contenance en regardant dans le vague, droit devant elle. Poussant la porte, la blonde eut un pauvre sourire. Il était évident, rien qu’au premier regard porté sur la salle de bains, qu’elle vivait seule. Pour qui allait-elle passer ? Une associable reclue ? Bah, tant pis pour les apparences, au point où j’en suis, pensa-t-elle.
Elle se tourna vers Ethan, qui ne s’était pas départi de son air autoritaire. Certaines personnes pouvaient se montrer terriblement entêtées. D’ordinaire, Kim détestait ça, et le faisait savoir. Là.. Elle n’y pouvait rien et savait pertinemment qu’il ne bougerait pas d’ici tant qu’elle ne montrait plus aucun signe de faiblesse. Elle ne put néanmoins retenir un hoquet indigné lorsqu’il lui demanda - non, lui ordonna - d’enlever son jean.
« Tu ne crois quand même pas que je vais.. » commença-t-elle, un brin menaçante.
La réponse ne se fit pas attendre, impérieuse et autoritaire. Reculant d’un pas, la jeune femme lui tourna le dos, en grommelant. Elle détestait qu’on la force à faire quelque chose, à plus forte raison se déshabiller, surtout si on la menaçait de le faire à sa place. Être pieds et poings liés la dégoûtait. Ce genre de situations la mettait hors d’elle. Et, en l’instant présent, elle ne parvenait même pas à se mettre en colère, tant sa fatigue et sa lassitude étaient grandes. Obtempérant lorsqu’il lui demanda de s’asseoir, elle lui jeta un coup d’oeil curieux. Depuis qu’elle s’était évanouie dans le hall du campus, il n’avait jamais essayé de profiter de la situation. Une idée fusa dans l’esprit de la jeune femme et elle ne put s’empêcher d’éclater de rire. Aussitôt, la brûlure de son genoux se rappela à son bon souvenir et elle serra les poings, tandis qu’Ethan faisait couler l’eau froide sur sa peau.
Il lui fallut quelques minutes pour se détendre et Kim poussa un profond soupir lorsque la sensation d’intense chaleur diminua pour laisser place au froid. Elle leva la tête et surprit le regard du jeune homme sur sa cuisse. Gauche. D’instinct, la blonde plaqua sa main sur sa cicatrice. Elle n’avait jamais aimé qu’on regarde cette partie-là de son anatomie. Trop de sang, trop de mauvais souvenirs, trop de tristesse avaient découlé de cette cicatrice. Et si oublier n’était pas chose aisée, rester indifférente l’était encore plus qu’elle devait chaque jour poser les yeux sur cette boursouflure du destin.
« Regarde ailleurs, s’il te plaît.. » murmura-t-elle.
Sa main, crispée sur sa cuisse, tremblait, et elle dû poser l’autre dessus pour se calmer. Silencieuse, elle écoutait l’eau. Enfant, elle adorait partir avec ses parents en vacances. Son père avait acquis, grâce à ses économies, une petite maison à deux heures de route de Los Angeles et ils y allaient souvent, du moins, avant le onze septembre. Depuis, Kim détestait l’océan. En fait, elle haïssait tout ce qui lui rappelait l’un ou l’autre de ses parents. Elle se haïssait. Un délicieux sujet pour les psychiatres, pensa-t-elle.
Si la marque rouge sur son genoux était toujours là, la brûlure elle, avait disparu. Du moins, pour le moment. Kim savait que dès que le débit d’eau froide se stopperait, elle aurait de nouveau mal. Mais elle avait froid. Levant les yeux vers Ethan, elle lui adressa un regard implorant. Et sincère. Décidément, songea-t-elle se levant. Avec toute la délicatesse dont elle pouvait faire preuve, la jeune femme prit la paume de douche de ses mains et coupa l’eau. Elle enjamba le rebord de la bannière et attrapa maladroitement le premier linge qui était à sa portée. Hésitant à sécher son genoux, elle préféra tamponner légèrement plutôt que frotter la matière éponge contre sa peau. Même si elle supportait la douleur, Kim n’était pas masochiste. Se faire mal était inutile et elle le savait.
« Reste là » fit-elle, en sortant de la salle de bains. « Enfin, non, bouge de là, plutôt » ajouta-t-elle avec l’ombre d’un sourire, en passant furtivement la tête dans l’encadrement de la porte.
Il ne lui fallut qu’un pas pour se rendre compte que marcher n’était pas difficile mais que son genoux l’élançait terriblement. Serrant les dents, elle poussa la porte de sa chambre, et, afin d’être certaine qu’Ethan ne la suivrait pas jusqu’ici, referma à clé. Ça n’était pas par méfiance, simplement parce qu’elle souhaitait avoir, ne serait-ce qu’une minute de tranquillité. Seule. La jeune femme souleva son oreiller et attrapa le pantalon dont la couleur avait fini par disparaître avec les années, et qui lui servait de pyjama. Le bas du vêtement ne traînait plus autant sur le sol que lorsqu’elle avait dix ans, mais elle n’était pas assez grande pour pouvoir prétendre être la propriétaire d’origine. Ou, du moins, la personne pour laquelle on avait acheté ce pantalon au départ. Soupirant, l’étudiante s’examina dans le psyché accroché contre sa porte. Elle était plus pâle qu’à l’ordinaire, et ses lèvres tremblaient légèrement. Hormis ça, elle n’avait pas encore trop mauvaise mine. Elle jeta un œil à son sous-pull couleur prune, et, avec une moue, l’ôta pour le remplacer par un tee-shirt beige et propre. D’une main experte, Kim remonta ses cheveux sur le sommet de son crâne et les attacha. Ainsi, elle était plus présentable.
Après avoir ouvert sa porte, elle jeta un oeil dans la salle de bains. Ethan ne s’y trouvait plus. Haussant les épaules, elle retourna au salon et ouvrit de grands yeux surpris. Personne. Et la tasse de thé n’était plus sur le sol. La jeune femme fronça les sourcils. D’accord, il ne lui devait rien mais ça n’était pas une raison pour se sauver dès qu’elle avait le dos tourné. De plus, il n’avait pas donné l’impression de vouloir partir.
« Hm, Ethan ? » fit-elle en s’avançant dans la pièce où le silence régnait.
Exemple de contexte :
- Spoiler:
Exemple de PV's :
- Spoiler:
le plus important
Josephine
feat : Eva Green
Age d'apparence : 24 ans Date de naissance : 1792 Age réel : 229 ans Régime Alimentaire : Sang humain Histoire: Joséphine est née à Montillac en 1766. Elle grandit entre un père exigeant et une mère uniquement préoccupée par les plaisirs charnels. Adolescente, elle fait la connaissance d'un gentleman anglais, James Cooper, avec qui elle entretient une liaison durant de nombreuses années. Il y a quelque chose d'étonnant chez cet homme : il ne semble pas vieillir. Alors qu'elle fête ses vingt-quatre ans, la jeune femme, adulée dans tout le Sud-Ouest pour sa beauté, fait une découverte terrible : elle est enceinte. D'un vampire. Fuyant la France pour l'Italie, où elle sait son cher et tendre réfugié, elle gagne par hasard Volterra et parvient à entrer en contact avec James. Celui-ci, surveillé par Jane et Démétri, est arrêté par les Volturi. Sa jeune compagne humaine est emmenée à Aro. Elle produit sur Jane un effet particulier : la blonde ne peut l'atteindre. Au contact de la française, son don se volatilise. L'humaine est un bouclier et doit être rejoindre leurs rangs. Mais elle doit tout d'abord mettre au monde l'enfant, engendré par un vampire. A peine quelques jours plus tard, elle fuit Volterra avec l'un des leurs, Carlisle Cullen, convaincu qu'il peut tirer du bon de cette vampire nouveau-née. Alors qu'ils s'apprêtent à prendre le bateau pour l'Amérique, Jo se dispute violemment avec l'anglais, persuadée qu'il veut s'emparer de sa fille. Le vampire l'abandonne en France, dans un état de fureur proche de l'hystérie. Il part seul avec l'enfant et Jo ne s'en remettra jamais, préférant mettre sur pieds son clan, son armée, sa famille. Son heure viendra, bientôt..
|
|
|
& liens
|
Cullen's Family :: Foes :: Jo appréciait autrement Carlisle mais elle, et elle seule, fut la cause de leur discorde. Leur bonne entente, basée sur le respect et l'honnêteté vola en éclats lorsqu'elle l'accusa de vouloir lui prendre sa fille. Depuis ce temps-là, Joséphine hait profondément le médecin et toute sa famille, jusqu'à interdire de prononcer leurs noms en sa présence.
The Volturi :: Foes :: Il y a plusieurs raisons à la haine que voue Jo aux Volturi. Tout d'abord, ils ont assassiné son premier amour, James. Puis, Aro lui a menti. Et ils l'ont transformée, et humiliée. Elle a d'ailleurs interdit aux membres de sa famille de prononcer ne serait-ce que leurs prénoms en sa présence et médite sa vengeance depuis plus de deux siècles. Son heure viendra, elle le sait.
Jo's Clan & François, specialy :: In love :: Joséphine a commencé par observer ceux qui allaient devenir ses compagnons avant de les transformer. Elle les aime et les hait en même temps, car ils lui rappellent tous ce pour quoi elle est toujours en vie. François est le premier qu'elle ait transformé et depuis, leur relation a toujours été très passionnelle. Si elle exige d'être le centre d'attention de tout son clan, elle désespère lorsqu'il ne la regarde pas. Pourtant, elle ne semble nourrir aucun sentiment véritable pour lui. Vraiment ? |
|
Voilà :] | |
|